mercredi 26 septembre 2012
de RFI
À côté des dossiers syriens et maliens qui dominent la 67e session de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, l’Iran figure également en bonne place. Ainsi, lors de son allocution à la tribune de l’ONU, Barack Obama a fustigé l’attitude de ses dirigeants sur la Syrie, ainsi que sur son programme nucléaire. La voie diplomatique n’est pas épuisée, mais, a-t-il toutefois averti, « le temps n’est pas illimité ».
Barack Obama à la tribune de l'ONU, le 25 septembre 2012.
REUTERS/Jason Reed
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