lundi 23 avril 2012
Call for Caribbean agriculture to focus on differentiated product markets
23 April 2012
In some areas, Caribbean countries are already significant suppliers of niche products. According to CARICOM analysis, both Belize and Jamaica are among the top ten suppliers of papaya, with Belize alone accounting for 10% of global trade. In recent years papaya exports from Guyana and Dominican Republic have also been growing strongly. However, there is growing competition from Latin American suppliers, particularly in the light of the recently concluded FTA arrangements between the EU and a range of Latin American countries.
Sources
Barbados Advocate, ‘Tap into niche markets’, 3 March 2012http://www.barbadosadvocate.com/newsitem.asp?NewsID=23167
CARICOM Secretariat Office of Trade Negotiations, ‘CARICOM’s papaya trade’, Private Sector Trade Note Vol. 23, 6 March 2012
http://crnm.org/index.php?option=com_content&view=article&id=543...
vendredi 20 avril 2012
Recherche/ Environnement -
Article publié le : vendredi 20 avril 2012 - Dernière modification le : vendredi 20 avril 2012
Afrique : de très grandes réserves d'eaux souterraines
Un troupeau de dromadaires dans le massif Ennedi, au Tchad.
De vastes réserves d'eau dans le sous-sol tchadien ...
Getty Images
Un troupeau de dromadaires dans le massif Ennedi, au Tchad.
Par Dominique Raizon
Quelque 0, 66 millions de mètres cubes d'eaux circulent souterrainement sur un continent où pour autant quelque 300 millions d'Africains n'ont aujourd'hui pas accès à l'eau potable. Des réserves importantes certes, mais inégalement réparties et pas toutes exploitables...Telles sont les conclusions d'une étude britannique effectuée par des chercheurs du British Geological Survey et de l'University College de Londres, publiée vendredi par la revue de l'Institut de Physique (IOP) Environmental Research Letters.
Un garçonnet s'approvisionne à un point d'eau de Baitadi au Népal.
22/03/2010 - Journée mondiale
L'eau est au coeur de tous les défis
1. Quelles pistes pour l'eau en Afrique ?
14/03/2012 - Autour de la question
1. Quelles pistes pour l'eau en Afrique ?
La baisse de niveau du lac Tchad se manifeste par l'émersion des sommets de dunes précédemment immergés puis par l'assèchement complet de cette cuvette.
20/01/2012 - Recherche / Tchad
La surface du lac Tchad continue à rétrécir
Extraction de sable et de gravier du fleuve Niger
14/06/2011 - Recherche/ Environnement
Les pêcheurs de sable saignent le fleuve Niger
Amas de vésicomyidés en forme de coeur
22/03/2011 - Recherche
Le "Pourquoi pas?" a rapporté des informations sur le système sous-marin du fleuve Congo
Les ressources annuelles africaines en eau de surface ne permettent d'irriguer que quelque 5% des terres arables alors que les réserves souterraines sur le continent sont plus de 100 fois plus importantes et correspondent à 20 fois la réserve d'eau douce des lacs. Pour quantifier les réserves aquifères à l'échelle de ce continent -et en réaliser la cartographie-, les chercheurs ont réalisé une vaste compilation des cartes ainsi que différentes publications et données existantes. Ces ressources s'expliqueraient selon les chercheurs par le fait que l'eau souterraine réagit beaucoup plus lentement aux conditions météorologiques et au changement climatique que l'eau de surface.
Mais les résultats de l'étude mettent en évidence « une distribution inégale » de ces eaux à travers le continent. Ainsi, Libye, Algérie, Soudan, Egypte et Tchad ont les réserves d'eaux souterraines (ou aquifères) les plus vastes du continent africain et les "vastes aquifères" sédimentaires d'Afrique du Nord sont en « proportion considérable », soulignent les chercheurs.
Une manne pour la population ? Attention !...
Les résultats des chercheurs montrent que dans de nombreuses régions d'Afrique, il y a suffisamment d'eau souterraine pour alimenter en eau potable la population locale grâce à des pompes manuelles . « Des puits de forage bien placés et à faible rendement pour l'approvisionnement rural et des pompes manuelles [permetttant de pomper entre 0,1 et 0,3 litre d'eau par seconde] seront probablement efficaces face au changement climatique », a déclaré Alan MacDonald, principal auteur de l'étude.
Mais les scientifiques mettent en garde contre une « approche dispersée » pour trouver des puits à haut rendement : selon eux, les possibilités pour mettre en place des puits de forage d'un débit supérieur à 5 litres/s, pour une exploitation commerciale, sont beaucoup plus limitées et ces puits ne devront pas « être développés sans une compréhension minutieuse de l'état des eaux souterraines locales », a-t-il précisé.
African Journal of Food, Agriculture, Nutrition and Development (AJFAND), Volume 12 No. 2
Author: CTA
Date: 13/04/2012
Introduction:
The latest issue of AJFAND has 10 peer-reviewed papers on child nutrition.
Peer reviewed articles are:
Nutritional and health status of primary school children in rural Uganda. (Hedwig Acham et al.)
Protein-energy malnutrition and malaria antiboby profiles in pre-school children in western Kenya: A potential diagnostic tool. (Arthur Kwena and J Wakhisi)
Infant and young child feeding (IYCF) practices in Ethiopia and Zambia and their association with child nutrition: Analysis of demographic and health survey data. (Ali Disha et al.)
Nutritional status of children in food insecure households in two districts of North Showa Zone, Ethiopia. (Aweke Kebede Arfassa et al.)
Assessing nutrition intervention programmes that addressed malnutrition among young children in South Africa between 1994-2010. (Per Ole Iversen et al.)
Prevalance of vitamin A, zinc, iodine deficiency and anaemia among 2-10 year-old Ghanaian children. (Godfred Egbi)
Nutritional and functional properties of a complementary food based on Kenyan amaranth grain (amaranthus cruentus). (Monica Mburu et al.)
Consumption of fruits among students: A case of a public university in Ghana. (Benjamin Mintah et al.)
Child malnutrition and mortality in Swaziland: Situation analaysis of the immediate, underlying and basic causes. (Sakhile Masuku-Maseko and Eddy Owaga)
Effect of moringa oleifera lam. leaves powder on the evolution of hemogram profile in Togolese undernourished children: Evaluation on HIV-positive patients. (Tété-Bénissan Amivi et al.)
Effet de la poudre de feuilles de moringa oleifera lam. sur l'evolution du profil de l'hemogramme des enfants malnutris au Togo: Evaluation chez les sujets HIV positifs. (Tété-Bénissan Amivi et al.)
REPRINT: Childhood obesity, prevalence and prevention. (Noori Akhtar-Danesh et al.)
jeudi 19 avril 2012
Forum sur les technologies améliorées et la sécurité alimentaire
Forum sur les technologies améliorées et la sécurité alimentaire
Le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) a organisé, avec l’appui de la FRAO, un forum sur les technologies améliorées et la sécurité alimentaire le samedi 14 avril 2012 au CICES, lors de la Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA).
Cet espace d’échange a réuni des organisations de producteurs, des bailleurs, des chercheurs, des utilisateurs et des acteurs du secteur privé se sont intéressé aux impacts des technologies améliorées sur la sécurité alimentaire. Les participants ont pu partager leurs expériences sur les meilleures stratégies de diffusion et d’adoption des technologies améliorées pour lutter contre la pauvreté dans nos pays.Les débats ont étudié les succès rencontrés dans des secteurs comme la filière céréales sèches (sorgho, mil, maïs, fonio), le maraichage et l’arboriculture (tomate, patate douce), la transformation (panification, patate douce, fonio) et l’aviculture.
Le calendrier des activités du PPAAO lors de la FIARA couvre toute la période du 12 au 22 avril 2012 avec une exposition permanente et des séances de démonstration sur diverses technologies qui ont contribué à améliorer les rendements ou les revenus des producteurs : l’amélioration de la variété locale de mil « thialack 2 », la décortiqueuse de fonio, les champs-écoles, l’introduction de coqs de raceurs dans la Vallée du Fleuve Sénégal, la valorisation des céréales locales par la panification, etc.
14 avril 2012
mardi 17 avril 2012
La sécurité alimentaire : Un défi à relever
Tout
le monde rural s’est retrouvé dans le village du Comice sis à Ngalan à
environ 5 km du Centre d’Ebolowa pour célébrer les performances
agricoles des différents producteurs.
Près
de 1500 exposants dans un site de 40 ha. Cela pouvait donner le tournis
au Comité National d’Organisation du Comice Agropastoral d’Ebolowa.
Mais, le pari a été tenu. Aucun secteur n’a été oublié. De l’Agriculture
proprement dit dans tous ses aspects à l’élevage en passant par la
pisciculture. Tous les producteurs ce sont retrouvés à Ngalan pour
étaler leur savoir faire. Des énormes tubercules de manioc, des régimes
de plantain aux doigts immenses, du maïs, des arachides, de l’huile de
palmier, etc. On tombe tout simplement en extase devant l’ingéniosité de
nos braves agriculteurs. Que dire de l’élevage du porc, du bœuf, de la
vache, des ovins, caprins, de la volaille, etc. Tout cela est
formidable, fantastique et confirme la position du Cameroun comme
grenier de l’Afrique centrale.
En
passant plus de 5 heures d’horloge à faire le tour des différents
stands d’exposition, à serrer les mains et à écouter attentivement les
explications des différents exposants, le Président Paul et son épouse,
ont donné un signal fort. Il veut que ce Comice ne soit pas un
épiphénomène, mais un nouveau qui permettra à notre pays de saisir
toutes les opportunités que nous offrent les potentialités affichées et
présentées, pour assurer une sécurité alimentaire inébranlable.
D’ailleurs,
le Président Paul Biya a prescrit des mesures urgentes pour sortir les
différentes filières agricoles de la léthargie qui faisait qu’en 2009,
on s’est retrouvé à importer pour près de 500 milliards de produits
alimentaires. Il faut donc définitivement tourner la page de la
dépendance extérieure pour ce que nous consommons au quotidien.
Serge NGOUMBOUTE (Comice Agropastoral : Centre de presse)
Comice Agropastoral d'Ebolowa : les secrets d'une réussite
Le 22 janvier dernier, en prononcant à
Ebolowa au nom du président de la République la formule rituelle:" je
déclare clos le comice agro-pastoral d'Ebolowa", le Premier ministre,
chef du gouvernement, Philémon Yang, a clôturé ce grand événement qui,
durant cinq jours, a retenu toute l'attention du grand public. Si
succès il ya eu, cela tient à plusieurs facteurs.
La mobilisation des ressources financières
.Plus de 20 milliards ont été déboursés par l'Etat du Cameroun pour la
réalisation des infrastructures. Aussi, des kilomètres de routes ont été
construites ou réhabilités à Ebolowa et ses environs. La voirie urbaine
a été réhabilitée ainsi que les services du gouverneur de la région du
sud et certains hôtels d'Ebolowa. Des cases de passage ministérielles et
de certaines entreprises étatiques ont été construites. Le réseau
électrique a été réhabilité ainsi que la fourniture d'eau. L'on peut
enfin citer l'aménagement des jardins publics et des centres de loisirs,
la construction du village du comice et la réhabilitation de l'héliport
etc...
La mobilisation populaire.
Ebolowa 2011 a connu la participation de 1200 exposants et de 300
entreprises privées en démonstration sur une superficie de plus de 40
hectares. A cela, il conviendrait d'ajouter la présence de nombreux
visiteurs.
La qualité des produits exposés.
L'originalité des produits, c'est ça aussi le comice agro-pastoral du
Cameroun. Dans cet ordre d'idées, des régimes de banane, du manioc, des
ignames, des patates, des bœufs, des caprins des porcs et de la volaille
de toutes les tailles ont pu être admirés par les visiteurs.
L'implication personnelle du chef de l'Etat.
Le président de la République a visité deux fois de suite le village du
comice. Et ce, pendant plus de sept heures. Un soutien fort pour
les agriculteurs et autres éleveurs. Paul Biya a aussi annoncé un
certain nombre de décisions importantes : la mise en place d'une unité
de production d'engrais, la mise en activité de l'usine de montage de
machines agricoles, la réhabilitation des fermes semencières, une
réforme foncière pour une agriculture de seconde génération, la
construction de marchés et centrales d'achat, la réforme de la formation
de l'enseignement agricole et enfin, l'ouverture de la banque agricole
et de la banque des Pme-Pmi. Des mesures qui visent à moyen terme à
assurer et à garantir la sécurité et la souveraineté alimentaires du
Cameroun. Et à long terme à poser les jalons de l'industrialisation afin
de faire du Cameroun un pays émergent à l'horizon 2035.
La mobilisation de la presse.
Plus d'une centaine d'organes de presse ont couvert le comice
agro-pastoral d'Ebolowa. Leurs correspondants ont pu en temps réel,
retransmettre le déroulement de cet événement grâce aux deux centres de
presse installés pour la circonstance par le MINCOM. Pour toutes ces
raisons, autant l'affirmer, Ebolowa 2011 a connu un franc succès, malgré
quelques insuffisances dans le domaine de l'hébergement que les
autorités ont essayé de résoudre par la réquisition des écoles.
Emmanuel AWONO (Comice Agropastoral : Centre de presse)
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